Troupe « Le Déclic » de Campbon ( Loire-Atlantique)
PAULINE : »- Il est beau quand il réfléchit Mau-mau… »
PAULINE : » Tu sais que tu m’inquiètes toi ? Hier matin tu avais quatre as dans ton jeu et tu as trouvé le moyen de les jouer les uns à la suite des autres sans te rendre compte que ça faisait un carré ! «
CLAUDE : » Fais voir ton bras que je prenne ton pouls… Ben oui, c’est un peu rapide ça. Il nous fait un train de fièvre, c’est sûr ! «
Mlle CRAMPON : » J’ai longtemps hésité avec le k.way mais j’ai finalement opté pour le ciré. Je pense que la protection sera meilleure, qu’en pensez-vous ? «
Parmi le public, l’auteur et sa femme semblent bien s’amuser du spectacle…
ANAIS : « Bonjour tout le monde ! (Regardant Maurice.) Ben tiens, il est là ! Y a vot’ femme qui vous cherche partout. »
GISELE : » Quant à toi, le capitaine Némo, va donc retrouver tes morues et tes maquereaux, tu seras en bonne compagnie ! Regarde-toi, mon pauvre Gilbert ! Ca ne m’étonne pas qu’aucune femme n’ait voulu de toi ! »
ARSENE PICHON : » Je connais un très bon psychanalyste à Paris qui me soigne et qui me fait beaucoup de bien. Si vous voulez…
GILBERT : » Alors tu la ramènes ici et pendant ce temps, Claude et moi… »
ANAIS « Je brasse tout ça avant de le déballer parce que je sais toujours pas quel effet ça va te faire. »
ARSENE PICHON : » Est ce que ce serait trop vous demander de me servir mon dessert s’il vous plaît… excusez-moi… pardon… Mais il n’y a plus personne dans le restaurant, je suis tout seul et ça m’angoisse… De plus, cela fait une heure maintenant que j’ai terminé mon escalope de veau… »
CLAUDE : » Vous avez entendu ce qu’a dit mon pote ? Les mains en l’air, tout le monde, et pas d’entourloupe ! On n’est pas des tendres nous, et la viande froide, ça ne nous fait pas peur ! »
ANAÏS : » Si on m’avait dit qu’un jour j’aurais servi de perchoir à un Pichon de Paris ! »
CLAUDE : » Eh couillon, c’est toi Fredo ! Moi c’est Paulo ! »
GISELE : » Non non, pas mon collier ! Pas mon collier ! La caisse de Pauline si vous voulez, mais pas mon collier… »
FELIX ROULARD : » Je ne sais pas d’où vous sortez tous les deux, mais vous me faîtes de sacrés bandits d’opérette. Allez, les mains en l’air, à votre tour. »
FELIX ROULARD : » C’est ça, appelle ta mère ! Elle va sûrement t’entendre et rappliquer ici. Il reste encore un peu de place et plus on est de fous, plus on rigole. »
Mme PICHON : » Mange Arsène, force toi. Il faut finir le dessert que cette charmante jeune fille t’a apporté. »
PAULINE : » Du cannabis ! Des pleins sachets de cannabis ! Mlle CRAMPON : » Et y en a encore trois autres valises identiques… »
ANAÏS : » Ouahhh ! Je n’en n’avais jamais vu de vrai et d’aussi près. C’est impressionnant ! Une James Bond girl dans Goldfinger ! «
ANAÏS : » Ben pourquoi j’ai pas le droit d’écouter ? J’ai été victime comme vous et j’ai droit aussi à l’aide psychologique qui suit les prises d’otages. »
L’INCONNU : » Le comte Jean Eudes Barnabé de Millefuites ! »
C’est sûr, ils ont passé un sacré bon moment !
Présentation de la troupe après son excellente prestation.